Biodanza – Cycle des Symbioses – Opus « Le Grand Voyage »
Danser « le Grand Voyage » pour s’ouvrir au passage entre les mondes
Accueillir le deuil, c’est célébrer les lisières.
Célébrer les lisières, c’est aussi accueillir ses propres métamorphoses.
Accueillir notre finitude, c’est aussi danser la vie.
Être vivant eut été impossible sans l’éphémère passage de myriades d’autres vivants qui avant nous fleurirent, s’épanouirent, avec leurs plaisirs et leurs peines, leur puissance d’agir et leur vulnérabilité. Et demain, d’autres danserons dans nos pas.
C’est qu’alors nous serons une trace, une empreinte, une douce nostalgie dans la mémoire des vivants, une présence juste de l’autre côté du seuil, au-delà d’une fine lisière offerte à tous les passages.
-> 8h de danse réparties tout au long de chaque week-end : danser, se mouvoir, se trémousser, valser, se rencontrer, s’émouvoir. Les danses sont inspirées de la Biodanza, accessibles à tous.
-> Un voyage initiatique pour danser la vie et la mort comme les deux faces d’une même pièce.
Organisateur
Docteur Vétérinaire
Facilitateur de Biodanza
Auteur et conférencier, Eric est avant tout un chercheur indépendant en quête de « sainte aise ».
« Chaque atome de notre corps a été créé dans une étoile, il y a quinze milliards d’années.
Chacun de ces atomes a constitué la matière de myriades d’autres corps vivants, depuis quatre milliards d’années.
Notre corps est ainsi un lieu de mémoires sédimentées, depuis les premières étoiles,
et puis l’apparition de la Terre, l’émergence de la Vie, jusqu’à nos existences singulières, éphémères.
Nous sommes traversé.e.s par le flux du Vivant qui nous a donné forme.
Après notre mort – Le Grand Voyage – chacun de ces atomes participera à d’autres formes, d’autres corps encore, et ce que nous aurons vécu enrichira la mémoire d’autres vivants qui à leur tour entreront dans la danse.
C’est à une reconnexion à ces mémoires que je vous invite, danser, se mouvoir, se rencontrer, s’émouvoir,
se métamorphoser au contact des corps en présence,
à partir de ce corps immémorial,
notre corps … »